Un artiste et un juge

Nelphaël et Pinocrate entre dasn l'alcove de faaristil ( voir dezcription de Lyandra ;p)
" Voici Faaristil, dieu des arts et de la beauté."

La pretresse était dans son alcove, elle continuait de travailler sur la fresque en l'honneur de son dieu, celle ci devenait de plus en plus impressionante en détails et en importance tant elle commençait à recouvrir litéralement les murs de l'alcôve.
Lyandra marqua une pause pour saluer le visiteur d'un jour ainsi que son frère.

"bonjour , bonjour Nelphael. tu continues de présenter chacun des gardiens à notre visiteur.

Nous nous sommes croisés l'autre jour à matin alors que vous etiez venu une première fois mais je n'avais pas le temps de faire plus connaissance.

Je suis donc Lyandra et c'est moi la pretresse de Faaristil, le dieu des artistes et des amoureux. que puis je vous apprendre sur le premier des bardes ?

" Et oui j'essaie desauver son ame et lemener vers la lumiére. Puisse Leva m'aider. J'espere ne pas t'avoir deranger?"

Pinocrate est subjugué par la beauté de la peinture... mais, quand il entend l'avant-dernière remarque de son hôte, il ne peut s'empêcher de murmurer...

- "... et il y a du boulot. Ha !"

Après avoir secoué la tête comme pour chasser des pensées incongrues mais tenaces, le jeune érudit reprend d'une voix plus intelligible :

- "Bien le bonjour, dame Athinol. Je tiens à vous féliciter pour la finesse de ces représentations... Malheureusement, je crains que ma présence ne provoque le courroux de Faaristil. Voyez-vous, je me suis juré il y a longtemps de ne plus éprouver la moindre émotion... alors, l'amour... ou même l'amitié ! D'ailleurs, je n'ai strictement aucun ami. Personne ne m'aime et je n'aime personne, ce qui me permet bien sûr d'attendre l'Apocalypse sans angoisse ni regret ! Si mon âme est troublée, c'est uniquement pour un problème de... de discernement moral, disons."

Pinocrate essaie-t'il de se convaincre lui-même ?

Lyandra grimace alors que l'humain annonce les grands vides de sa vie

"que votre vie doit être triste alors "

Décontenancé, le jeune homme dévisage Lyandra comme s'il s'agissait d'une folle ou d'une apparation divine. Il s'attendait visiblement à... des arguties philosophiques, peut-être, mais pas à une remarque aussi directe et aussi personnelle.

- "Hmm... La tristesse est une émotion, et comme je vous l'ai expliqué j'essaye de n'en ressentir aucune. Mes seules satisfactions sont de nature intellectuelle. Pourtant... je... je ne sais pas... depuis quelques temps, je suis tendu, j'ai l'impression que je perds le contrôle... je ne sais même plus si je dois tout faire pour retarder la fin du monde... ou au contraire précipiter celle-ci, afin de jouir enfin du spectacle. J'ai l'impression d'être plusieurs personnes. Ce serait un effet de mon... heu... extrême solitude ?"

"Allons allons,vous vous tourmentez inutilmeent. Cessez d'ecioutez ces nombreuses voix dans votre tete et n'ecoutez en qu'un celle de votre cooeur car en depit de vos propos vous en avez un.

Pinocrate hésite...

- "Mon coeur ? Vous êtes sûr ? Cela ne risque pas de rajouter à ma confusion ? Le coeur plutôt que le cerveau... hmm... c'est original, mais, ceci dit... pourquoi pas, ça ne pas être pire. Voyons. Heu... Comment on fait, déjà ?"

L'elfe de dire :
" Il est des choses que l'on oublie pas et qui revienne peu à peu vous n'avez surement pas l'habitude d'ecouter ce que vosu dictes votre coeur mais cela reviendra peu à peu."
L'elfe se tourne vers sa soeur et de lui dire :
" Nous jouerai tu un petit air sur ta harpe qui sait peut etre que le son mélodieux de celle ci touchera ce coeur dont Pinbocrate a oublier l'existence"

Lyandra s'approcha de Pinocrate puis tout en effleurant son crane de ses doigts fin

"mais votre cerveau n'est il pas déjà empli de confusion ? "

Puis sa main vint se poser sur le torse de l'humain

"le coeur est moins prévisible que ce qui a été refléchi mais s'il reste le seul à parler alors ce qu'il vous dira sera plus pure que tout ce que votre tête pourra vous conseiller "

Pinocrate rougit violemment lorsque Lyandra effleure son torse. Telle une tomate géante, il bafouille quelques explications maladroites :

- "Si ma tête est trop pleine... je crains que... mon coeur soit vide. J'ai toujours eu très peu d'amis, voire aucun. Partout, je n'ai rencontré qu'incompréhension. Je dois avouer que mon caractère... heu... exalté et péremptoire y est peut-être pour quelque chose. Hmm... comment vous dire... voilà : je me suis appliqué à ne rien ressentir, d'abord pour me consacrer à mes études, puis pour me protéger du regard en biais de mes contemporains. Je crois que... avec la solitude... mon coeur a dépéri..."

Essuyant la sueur qui commence à perler sur son immense front, le jeune érudit murmure :

- "Mes problèmes viennent peut-être de là, en effet."

l'elfe pose une main amicalsur l'epaule de Pinocrate:
"Vous n'etes plus seul mon ami, ouvrez votre coeur et vous saurez que vous comptez pour certaines personnes. Nous vous acceuillerons avec joie, Lumière emplit le coeur de ses fidèles d'amour. Si vous n'y voyez pas d'inconveniant allons vers un autre autel. Celui qui me tient le plus a coeur, celuui de ma déesse, Leva"

Troublé, ému peut-être, Pinocrate s'autorise un sourire... sincère.

- "Avec joie. Je vous suis !"

Lyandra adresse un chaleureu sourire à Pinocrate

"revenez quand vous voulez, je me ferai un plaisir de vous parler encore de Faaristil ou de vous aidez à retrouver un contact avec votre Coeur "

puis l'elfette regarda partir le visiteur et son guide avant de se remettre à l'ouvrage